Médicaments et grossesse en dehors des antibiotiques
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
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Thèse universitaire | La bibliothèque des Sciences Médicales et Pharmaceutiques | TH-618.2 HAR (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000014010 |
Sous format papier
Université Mohammed V, Souissi
Notre travail a consisté en l’étude des risques importants causés par une consommation médicamenteuse mal adaptée à la femme enceinte. Cette consommation demeure élevée avec ou sans prescription médicale. Au terme de cette étude, et vu le nombre très important des médicaments, nous pouvons, mais d’une façon succincte et en tenant compte des classes thérapeutiques les plus utilisées, les classer en 4 grands groupes, ainsi on distingue : • Les médicaments à très haut risque tels que : les antimitotiques et en particulier les anti métabolites, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion, les anti Vit K, et les anti diabétiques oraux qu’il faudra donc proscrire. • Les médicaments à risque important tels que : les anti-inflammatoires, l’anti épileptiques et les neuroleptiques qu’il ne faut prescrire qu’en cas de nécessité absolue en mettant en balance les bénéfices attendus avec les risques encourus été en collaboration avec un service spécialisé. • Les médicaments à risque notable, tels que les antis dépresseurs tricycliques, les tranquillisants et anxiolytiques et les hormones sexuelles dont l’indication doit être fondée et bien posée. Enfin, les médicaments sans risque ou plutôt à risque discuté, qui ne sont pas tératogènes chez l’animal et dont les données actuelles n’ont pas prouvé d’effets nocifs chez les fœtus humain, entrent dans cette catégorie : certains antihypertenseurs tels que (l’alpha méthyle dopa et la clonidine) l’héparaine, l’insuline et la cimétidine qui peuvent être prescrits sans grande crainte chez la femme enceinte.
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