bridation interspectifique expérimentale in vivo et in vitro chez le blé
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
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Thèse universitaire | La bibliothèque des sciences de l'ingénieur | TH-631.523 AZE (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000011668 |
Sous format papier
Université Mohammed V - Agdal
La technique de pollinisation, la période de pollinisation et le type de croissement sont des facteurs déterminants dans la réussite de l’hybridation interspécifique in vivo. L’obtention des plantules hybrides, non réussi à partir des graines hybrides, est assuré, soit à partir d’embryons immatures dont la période de prélèvement favorable est 14 jours après la pollinisation, soit à partir de cal formé par l’embryon en culture et qui peut produite des embryons somatiques. Toutefois, la fragmentation de l’embryon immature en partie gemmaire et radiculaire a amélioré sensiblement le rendement en cals embryogènes, en particulier pour le croisement blé dur – blé tendre. Cependant les plantules hybrides n’atteignent pas le stade floraison. Elles meurent généralement au stade 4 à 5 feuilles. Des véritables graines ont été obtenues après hybridation in vitro sur le milieu R 9 dont la moitié du saccharose est remplacée par le glucose et le fructose, additionnée de kinetine, de zéatine et d’acides aminés. De même que la culture des ovaires pourvus de rachéole s’est avérée très utile dans la réussite des hybridations in vitro.
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