L'hypospadias postérieur ( A propos de 60 cas )
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
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Thèse universitaire | La bibliothèque des Sciences Médicales et Pharmaceutiques | TH-616.64 ENN (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000014041 |
Sous format papier
Université Mohammed V - Souissi
L’hypospadias doit être défini comme agénésie de l’urèthre distal, de sorte que l’orifice uréthral débouche à la face inférieure ou ventrale des organes génitaux externes. L’ensemble de ce travail qui porte sur 60 cas d’hypospadias postérieur colligés au service de chirurgie pédiatrique « C » sur une période de 5 ans allant de 1994 au 1998, confirme les données classiques connues des hypospadias, à savoir sont caractère héréditaire, plurifactoriel, le grand nombre d’anomalies associées et la nécessité d’un bilan clinique dès la naissance. - L’âge moyen des enfants traités était de 5 ans et demi. - La variété pénienne postérieure de l’hypospadias est la plus fréquente avec un taux de 43% - L’ambiguïté sexuelle présentait 13,5% des malformations associées à l’hypospadias postérieur. - Les techniques chirurgicales utilisées au service étaient : - La technique de Duckett (65%) - La technique du Lambeau vésicale (15%) - La technique de Duplay (10%) - La technique de Denis Brown modifiée (5%) - La technique de ONLAY (3%) • Les complications les plus rencontrées étaient : les sténoses, les fistules et la coudure résiduelle. • 25% des patients ont présenté de bons résultats à la première intervention.
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