Gestion des complications et échecs en implantologie
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
---|---|---|---|---|---|---|
Thèse universitaire | La bibliothèque des Sciences Médicales et Pharmaceutiques | TH-617.69 LAK (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000008566 |
Sous format papier
Université Mohammed V - Souissi
En implantologie, le respect d’une façon rigoureuse des conditions nécessaires pour l’obtention d’une parfaite ostéointégration de l’implant, permet un taux de succès aux alentours de 95%. Malgré cela et toutes les précautions prises, l’échec peut survenir sans que sa prévision ne soit possible et le praticien se doit d’être capable de le gérer. Ces échecs implantaires peuvent se déclarer lors de la chirurgie implantaire ou lors de la période d’enfouissement, on parlera alors d’échec primaire, ou plus tardivement après la mise en fonction de l’implant, considéré alors comme un échec dit secondaire. La gestion de cet échec est multidisciplinaire et permet par des techniques prothétiques, parodontales ou chirurgicales de conserver l’implant. Si la dépose de l’implant est nécessaire, des thérapeutiques spécifiques doivent alors être employées, afin de permettre la mise en place d’un nouvel implant dans des conditions optimales. La quête du succès en implantologie est justifiée du fait que la technique implantaire demeure la méthode qui répond au maximum aux exigences et besoins du patient (fonctionnel, esthétique, psychologique…)
Il n'y a pas de commentaire pour ce document.