Intérêts et limites de la mise en condition tissulaire en prothèse adjointe totale
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
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Thèse universitaire | La bibliothèque des Sciences Médicales et Pharmaceutiques | TH-617.69 CHI (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000008448 |
Sous format papier
Université Mohammed V - Souissi
Les progrés réalisés dans les différentes disciplines de l'odontologie ont permis de reculer au fur et à mesure, l'âge de l'édentation totale de nos patients. Chez un édenté total non compensé (jeune ou âgée), l'os se résorbe, la muqueuse s'amaincit et les muscles perdent leur tonicité. De plus en vieillissant, l'ensemble du système neuro végétatif s'altère. Ces modifications tissulaires font toute la complexité de la réalisation des prothèses complètes. Un édenté total appreillé par une prothèse mal adaptée connaît lui aussi des altérations tissulaires. Ces instabilités sont une contre-indication à la réalisation de nouvelles bases prothétiques. Il apparaît nécessaire de tenter une réhabilitation de l'ensemble des structures de la cavité orale et des articulations temporo-mandibulaires ainsi que de préparer psychologiquement les patients à recevoir leurs prothèses. C'est dans ce cadre que s'inscrit la mise en condition à l'aide des résines acryliques à prise retardée.
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