Correction des dysmorphoses crânio-faciales par distraction ostéogénique
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
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Thèse universitaire | La bibliothèque des Sciences Médicales et Pharmaceutiques | TH-617.64 MAT (Parcourir l'étagère) | Disponible | 0000000007457 |
Sous format papier
Université Mohammed V - Souissi
Le but de notre propos est de faire connaître la "distraction ostéogénique" aux chirurgiens dentistes, en particulier dans ses applications dans la sphère craniofaciale. Ces derniers peuvent, en effet, jouer un rôle non négligeable dans l'orientation des patients vers l'équipe opérante craniofaciale. Depuis près d'un siècle, la distraction ostéogénique a été utilisée par les chirurgiens orthopédistes pour allongement des membres inférieurs notamment. Les dernières décennies du 20e siècle ont vu cette technique de plus en plus appliquée à la sphère craniofaciale. Les principes de base de la distraction ostéogénique (ostéotomie, délai de distraction, activation, consolidation, dépose du distracteur et contrôle post distraction) ont été conservés mais de nombreuses adaptations et améliorations ont eu lieu en raison des particularités de la sphère craniofaciale. Les multiples avantages et les indications possibles en chirurgie craniofaciale ( depuis les grands syndromes tels que le syndrome d'Apert, la maladie de Crouzon jusqu'au déficit alvéolaire) laisse présager un avenir prometteur à la distraction ostéogénique. Cependant, le manque de recul clinique suffisamment long invite à la prudence.
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